"I am not my own subject", disse uma vez Gore Vidal. Eu também não. Não é para isso que existe este blogue. Todavia, num comentário a este post um "anónimo" suspira: "e tão amigos que vocês eram.". É verdade. Só que, num momento infeliz - e, presumo, por causa de algo escrito aqui, nesta coisa tão contingente quanto efémera a que chamamos blogosfera - esse meu amigo José Manuel dos Santos (o pronome possessivo significa que não deixei de ser amigo dele) confundiu as coisas (amizade, concordância, crítica, nobreza, fidelidade, inimizade...) e não me deixou sentar à sua mesa. Como ambos gostamos de Mitterrand, deixo esta frase do último livro de Kundera, ali ao lado, em jeito de comentário meu, assinado:
«Aujourd'hui, je le sais: à l' ère du bilan, la plaie la plus douloureuse est celle des amitiés cassées; et rien n'est plus bête que de sacrifier une amitié à la politique. Je suis fier de ne l'avoir jamais fait. J'ai admiré Mitterrand pour la fidélité qu'il a su garder à ses vieux amis. C'est à cause de cette fidélité qu'il a été si violemment attaqué vers la fin de sa vie. C'est cette fidélité qui était sa noblesse.»
«Aujourd'hui, je le sais: à l' ère du bilan, la plaie la plus douloureuse est celle des amitiés cassées; et rien n'est plus bête que de sacrifier une amitié à la politique. Je suis fier de ne l'avoir jamais fait. J'ai admiré Mitterrand pour la fidélité qu'il a su garder à ses vieux amis. C'est à cause de cette fidélité qu'il a été si violemment attaqué vers la fin de sa vie. C'est cette fidélité qui était sa noblesse.»
1 comentário:
Fidelité aux amis d'un certain temps, parce que les autres d'avant, Mitterrand les a bien oublié. S'il a même simulé n'avoir pas qu'une seule famille!
Para não falarmos da sua fase pétainista e nas actividades de duvidosa excelência, como assassinatos, ataques à bomba, tentativa de sabotagem da reunificação da Alemanha, coacção moral sobre opositores, etc. Não era boa rês.
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